us et coutumes

L'Épiphanie est une fête chrétienne qui célèbre le Messie venu et incarné dans le monde et qui reçoit la visite et l'hommage de mages.      

Elle a lieu le 6 janvier. Pour les catholiques, depuis 1971, dans les régions où l'Épiphanie n'est pas un jour férié, elle peut se fêter le deuxième dimanche après Noël soit le premier dimanche de janvier.

Les tradition se perdent malheureusement, mais nous pouvons fêter les Rois jusqu'à fin janvier.                            La fête s'appelle aussi – en particulier chez les orthodoxes – « Théophanie », qui signifie également la « manifestation de Dieu ».

Dans l'antiquité et à l'origine, l'épiphanie tire son fond et son sens des célébrations païennes de la lumière.      Dans le calendrier solaire, avant de s'inscrire dans le prolongement chrétien de Noël, l'Épiphanie s'inscrit dans le cycle qui commence au solstice d'hiver, le 22 décembre. Cette nuit du solstice — la plus longue de l'année — annonce le rallongement des jours et, par extension, la renaissance de la lumière censée être à l'origine de toutes choses, notamment dans le calendrier agricole. On célèbre alors l'Épiphanie, la manifestation de la Lumière.

Les « Épiphanes » sont, dans la culture grecque, les douze divinités de l'Olympe apparues aux hommes, avec en premier lieu, Zeus, le dieu de la Justice céleste. Il est à noter également que c'est ce jour — en tout cas son équivalent, car le calendrier julien alors en vigueur diffère du nôtre — qu'avait lieu dans la Rome antique la fête des douze dieux épiphanes (autrement dit les douze Olympiens).                                                                    La date de l'Épiphanie correspond aussi, à l'origine, à une fête païenne : sous l'Antiquité, les Romains fêtent les Saturnales qui durent sept jours pendant lesquels la hiérarchie sociale et la logique des choses peuvent être critiquées sinon brocardées et parodiées.

À cette occasion, « un homme jeune et fort, semble-t-il, représentait le dieu Saturne ; à l’issue de la fête, lui ou son simulacre était sacrifié au dieu pour lui apporter sa force et sa jeunesse, comme aujourd’hui encore on brûle solennellement le bonhomme Carnaval » ; parmi les jeunes soldats, un roi était élu et pouvait commander tout ce qui lui plaisait ; « plus de maîtres, plus de serviteurs, plus d’esclaves, plus de travail, chacun revêtait comme il lui plaisait les vêtements des autres, buvait et mangeait son saoul. » On pouvait opérer ce changement de rôle uniquement durant la fête des Saturnales entre le « maître » et l'« esclave ».

Alors galette de roi Frangipane appelée aussi Parisienne, la brioche  toute simple à la fleur d'oranger , en passant par la provençale avec les fruits confits, je vous souhaites bon appétit.!!

Voilà à quoi correspond en gros l'épiphanie, je vous souhaites un bon mois de janvier et de déguster de bonne galette et pourquoi pas devenir Reine ou Roi d'un jour.

A très bientôt

Aigle de Cristal 

SOURCES: https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89piphanie

Les feux de la Saint jean étaient dans les temps très lointain ,une façon de célébrer le soleil;
 Par la suite, au moyen-age la pratique était de ramasser les os d'animaux morts pour faire un feu qui devait les préserver de la peste. mais aussi grace à la fumée faire fuire les animaux  qui par ces fortes chaleurs auraient pu infecter par leur spermes les eaux des puits et autres sources à boire.
Mais il faut savoir que peu de personne pratiquait , cela était plutôt réservé à certaines provinces et région de notre pays.

Il faut savoir que les rituels au soleil sont connus depuis la nuit des temps , Ces feux étaient le départ de jeux et fêtes qui émaillaient tout l'été.
L'abbé PLUCHE  en parlant des différentes fêtes qui se célébraient en Égypte, fait mention d’une fête qui avait lieu au solstice d’été, et qui était annoncée au peuple par une Isis, sur la tête de laquelle on voyait une écrevisse ou un cancer marin. Ce symbole indiquait la constellation où le soleil entrait pour lors. Cependant le solstice d’été n’était pas un temps aussi remarquable pour les Égyptiens que pour les peuples des zones tempérées, mais ils avaient emprunté cette coutume et cet usage des peuples de l’Asie, dont ils étaient une colonie. Ces traditions ont passé, comme tant d’autres, d’Asie en Europe, et se sont transmises d’âge en âge.

Signalons une particularité assez remarquable du feu de la Saint-Jean, et des feux de joie en général : l’usage où l’on sauter par-dessus le foyer ardent, lorsque la flamme amortie permettait de le franchir sans danger. Nous ajouterons ici quelques observations sur l’origine de cet usage, dont la racine se découvre dans les pratiques les plus anciennes
Dans certaines peuplade, on sautait le feu pour absoudre ses péchés , pour d'autres cela permettait grâce à la fumée en passant entre deux rangées de flammes de nettoyer les troupeaux de toutes les mauvaise choses qui pouvaient atteindre celui-ci.
Les jeunes filles vierges à une certaine époque qui sautaient au dessus du feu ,avaient la chance de trouver un mari dans l'année.
Que de belles histoires , que de belles soirées;
Moi je vous dirais , allez danser et sauter le feu pour garder en mémoire nos belles traditions.

Christine.CZ